Médicaments

Après les frais d’hospitalisation et les frais médicaux, les dépenses en médicaments sont le troisième poste de dépenses le plus important du système de santé. Et les dépenses ne cessent d’augmenter d’année en année. Depuis 2014, par exemple, elles ont augmenté de 47% au sein de l’assurance de base.

L’un des problèmes est que les prix des médicaments dont le brevet a expiré sont en moyenne 5 à 10 pour cent plus élevés qu’à l’étranger. La Suisse occupe ainsi une place peu glorieuse en Europe.

curafutura s’engage pour que les prix des médicaments baissent. Car la marge de manœuvre existe.

C’est là que nous intervenons

  • Freiner les coûts des médicaments là où cela ne fait pas mal.
  • Transparence de la formation et de la fixation des prix.
  • Autorisation rapide des médicaments à autorisation multiple.
  • Bonne solution pour des marges commerciales neutres en termes d’incitation.

Notre position en bref

La distribution de médicaments génériques et de biosimilaires doit être encouragée.

Cela ne sera possible que si les incitations manifestement erronées du système sont supprimées. Cela implique l’introduction de marges commerciales neutres sur le plan des incitations. Ce n’est qu’ensuite qu’il sera judicieux de réfléchir à un système de prix de référence concurrentiel pour les médicaments dont le brevet a expiré.

Il faut réformer le système d’admission et de formation des prix.

curafutura demande une application plus stricte des critères EAE, notamment de l’économicité, ainsi que du principe de la rentabilité.

Vous trouverez ici le détail de notre position.